Umberto Menin

Retrospective



Pensant Venise

Les cités invisibles

La Déesse Mère

La monstruosité du quotidien

Portraits

Nus

 

 

 

 

 

Chacun d’entre nous, dans son enfance, a appris à connaître le monde qui nous entoure au moyen de la peinture et du dessin. Personnellement, je n’ai jamais abandonné ce “faire” et la peinture est devenue le reflet de ma pensée, de mes problèmes, de ma curiosité. Je continue encore à me demander : qui suis-je et où suis-je ?  Parfois j’ai  entrevu : d’où viens-je ? mais juste des fragments… comme un déjà vu. Par conséquent, je me suis convaincu que la pensée se forme par images que nous traduisons ensuite en mots.

 

Où vais-je?  La linéarité du Positivisme, avec ses progrès successifs, ne m’a jamais convaincu. Je me sens plus à l’aise en pensant à une circularité qui se dénoue en une spirale, mais pas toujours en croissance. Mais, de toute façon, peindre demeure un grande et belle aventure !

 

Umberto Menin, 21 décembre 2008

 

 



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